|
|
|
|
|
Page d’amour…
On désire toujours celui que l’on a plus On espère pouvoir le reconquérir On souhaite qu’il nous rende heureuse Et ainsi que notre histoire reparte a zéro
Mais à trop espérés on fini par idéaliser, Au début on se dit c’est normal, on lui pardonne ses petites erreurs, On lui excuse certaines absences.
Et puis un jour on réfléchit, On repense a tout ce que l’on a vécu, Puis on se dit çà suffit.
On veut que tout change, On rêve d’une relation plus profonde, Mais on ne peut changer les gens.
Alors il faut tourner la page, Mais l’amour ce n’est pas comme un roman Que l’on commence un jour, Et que jamais on ne fini.
L’amour ne se ferme pas comme un livre, Une histoire commencée ne peux s’oublier, Mais la jeunesse nous pousse a finir ce livre, Qui tant de fois nous a fait rêver.



| |
|
|
|
|
|
|
|
Je laisse
Je laisse mes rêves m’abandonner sur le papier blanc déchirer que l’on essayais de recoller avant de tout laisser brûler
Je laisse vieillir mes souvenirs dans les boites a bijoux user que l’on n’arrive pas a recoller que l’on fini par oublier
Je laisse de mes yeux s’échapper les larmes des blessure passé les marques des nuit passer a prier et les cris de haine qu’on m’a voler
Je laisse les coups frapper ma peau les erreurs noircir mon passé les blessures détruire mon enfance et les cicatrices mutile ma peau
je laisse le diable voler mon âme je laisse a dieu le droit de me punir je laisse au hommes le droit de se moquer et au ange le droit de me laissez
mais jamais je ne laisserais quelqu’un mutilé mon coeur piétiner mes sentiments comme certains piétine les mégot usage
je ne suis pas a vendre je vous offre ma vie je vous offre ma mort mais je préserve mon cœur
mes sentiments sont ma vie je vous laisse tout le reste mais ma liberté d’aimer reste mienne pour toujours


| |
|
|
|
|
|
|
|
La maladie
Hier, je me disais qu'il me restait encore énormément de lendemains , Mais depuis ce midi , il ne me reste plus rien , On vient de m'apprendre que j'ai un cancer du sang, Et que l'on n'y peut rien .
Je vais donc me laisser mourir, Attendant que ça passe, Je vais m'efforcer de rire, Attendant que je m’efface.
Je vois les gens qui rient qui pleurent, Qui ne profitent pas assez de leur enfance, Qui ne se rendent pas compte de leur chance. Je pense à mon enterrement avec des tas de fleurs.
Il y aura du monde, Ma famille, mes amis, Ils formeront une tombe, Autour de ma tombe tous unie.
Je ne peux rien faire, A part peut être prier pour mes enfants, Pour qu'ils ne souffrent pas comme leur mère, Et qu'ils aient j'espère un règne plus décent



| |
|
|
|
|